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Le mot « sophrologie » a été inventé par Alfonso Caycedo, psychiatre colombien. Refusant certains traitements psychiatriques comme le coma insulinique ou les électrochocs, qui selon lui altèrent la conscience, il souhaite une autre approche de la maladie mentale. Etymologiquement, ce mot vient du grec ancien:
SOS : Harmonie
PHREN : Conscience
LOGOS : Science
La sophrologie est donc la science de l’harmonie de l’esprit. Grâce à la sophrologie, la conception de l’individu a du être modifiée, surtout en médecine, mais aussi en pédagogie ,en sociologie et même en philosophie. En effet, l’évolution de la technologie médicale à obliger les médecins à se spécialiser. Pourtant, cette optique change. En effet, si un organe est malade c’est parce que l’individu tout entier est en désharmonie.
La sophrologie ne se substitue en aucun cas à un traitement médical; c’est un excellent outil complémentaire pour renforcer l’efficacité du traitement. Elle considère l’individu comme un tout. Ce tout est constitué de différentes parties ou fonctions:
La fonction sensorielle est la première que l’on apprend à activer en sophrologie. La sophrologie utilise la raison mais ne la cultive pas particulièrement puisque nous fonctionnons exclusivement avec. Elle n’est pas du tout compatible avec la sensorialité car le cerveau a besoin de stimulation sensorielles pour exister.
La démarche sophrologique va donc commencer par la prise de conscience de la corporalité, la réintégration ou l’intégration de cette fonction primordiale, au présent. Cela veut dire qu’au moyen de exercices dynamiques simples, l’individu va prendre conscience de son potentiel corporel et énergétique qu’il possède. Il va se rendre compte qu’il est aussi un corps sain avec tout le positif qu’il recèle.